𝓡𝒆𝖋𝓵𝒆𝔁𝓲𝓸𝓷𝓼 « 𝒂𝒕 𝓵𝒂𝒓𝒈𝒆 » 𝒆𝒕 𝓹𝒆𝒓𝒔𝒐

Il peut nous arriver d’être tourmenté par des pensées complètement idiotes.

Et les idées intéressantes font comme des courants d’air “chargés de sens, mais indicibles”. Quand elles passent on respire, mais elles ne durent pas. Elles ont quelque chose “d’instantané” qui les rend autant insaisissables que présentes. Mais leur effet est persistant, et semble curieusement situé à l’endroit diamétralement opposé de leur apparition. Mais je me laisse peut-être emportée par mon imagination…

Caspar David Friedrich, "Le Moine au bord de la mer" (1808-1810)

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